En 2051, l'agriculture sera verte et chère.
Elle utilisera peu de pétrole, d’engrais et de pesticides.
Le Bio sera devenu une science structurée.
La spéculation sur la nourriture sera interdite et les semences seront un bien commun.
En conséquence, plus de famines.
En 2051, l'eau est redevenue un bien commun à toute l'humanité.
La vente d'eau, en bouteille, au robinet ou en fleuve ne se produit plus.
Beaucoup de barrages auront été détruits.
En 2051, les aides vont aux petites fermes. Les grandes auront tendance à vendre des terres et à disparaître.
Les moineaux, hirondelles et grenouilles grises reviennent, les insectes aussi, ainsi que plusieurs autres disparus.
En 2051, les déchets deviennent l'or du moment.
Les déchets ne sont plus laissés pour compte dans les projets.
On parle d'écosystèmes complets, où l'origine des intrants ainsi que les destinations de tous les produits sont clairement identifiés et gérés.
Aucune centrale nucléaire n'est acceptée avant que les processus de gestion des déchets ainsi que
l'acheminement des matières premières ne soient opérationnels.
Aucune usine chimique (plastique, PFAS, pesticide, pharma) n'est acceptée
avant que les processus de gestion des déchets ainsi que l'acheminement des matières premières ne soient opérationnels.
L'énergie pour le transport suit les mêmes règles d'économie circulaire.
Les pneus d'une part, les routes, ponts, aéroports aussi.
Comment seront-ils déclassés?
Pêche industrielle.
Le dilemme entre nourrir les humains et détruire la biodiversité marine devra être abordé d'ici 2051.
En 2051, les mers du monde commencent à se repeupler, quand biologiquement possible, après les chutes des populations marines, (morue en Nouvelle Écosse, mer d'Irlande, mer Baltique, Sénégal, mer de Chine).
En 2051, les fermes de poissons ne prendront que peu le relais, parce que la plupart des espèces domestiquées sont carnivores et mangent d'autres poissons, qu'il faut pêcher, même s'ils sont transformés en farine.
En 2051, les populations de baleines et des autres mammifères marins seront stabilisées.
Les transports en commun, seront omniprésents, partout, agréables, gratuits.
Moins d’avions, de bateaux, de transports de biens sur de grandes distances.
Pas de jets privés.
Nous n'utiliserons que de très petites voitures, avec une carrosserie en carton ou en jute; utilisées là où il n’y a pas de transports en commun.
Donc, que la voiture soit électrique ou thermique il y aura peu de différences pour l'environnement.
L'utilisation massive du train rentabilisera les investissements colossaux nécessaires (gares, rails, matériel roulant).
Le mazout des camions, le fioul des bateaux et le kérosène des avions sont fortement taxés.
La vie sociale avec peu de stress rendra le tourisme moins nécessaire.
Le tourisme sera très local: les environs, à pied ou à vélo, à la limite en train,
Favoriser les PME, pénaliser les grandes entreprises.
Les grandes surfaces deviennent des marchés couverts.
Les milliardaires paient des impôts conséquents partout.
Taxer les revenus supérieurs à 20 fois les revenus les plus bas.
Taxer les patrimoines supérieurs à 20 fois le prix d’une maison moyenne à 6 chambres tant pour les individus que pour les corporations.
Discussion: il sera compliqué de convaincre les ultra-riches, même si en 2024, on parle de les taxer {X7}
Des idées en 2024 en France pour
éponger le déficit par les ultra riches.
(Laurent Jeanneau)
Tous les paiements se feront par banques. Celles-ci garderont, en plus du compte en euros, un compte en kwh. Chacun a droit à 10 kwh par jour. S'il dépense plus, il est taxé.
Il n'y aura plus de secret bancaire.
De nombreuses monnaies locales seront utilisées.
Mettre les réfugiés au travail, tout de suite.
Répartir plus équitablement les ressources et éviter les gaspillages.
L'extractivisme ne sera plus une source de profits, l'ONU le gérera à minima.
Les rouages de l'économie sont nombreux et complexes, ce qui rend les prévisions délicates; d'autant plus que la politique n'est jamais loin.
Avec de plus petites entités, la situation sera plus simple et plus facile à gérer
Les réseaux contiendront des batteries.
La gestion des réseaux sera efficace.
De nombreux petits réseaux locaux fourniront un meilleur service; avec du courant continu sur des petites distances.
De nouvelles batteries seront développées.
L’énergie sera produite sans hydrocarbure: surtout avec du solaire, du vent, la marée et l'eau.
Le nucléaire ne sera pas utilisé. Car, suite à l'accident qui est prévisible, il aura très mauvaise presse, comme après Tchernobyl et Fukushima.
Très peu de pétrole, gaz et charbon serviront encore à produire de l'électricité.
Les besoins en métaux rares poseront question en 2051.
Au niveau des rêves, la fusion nucléaire commencera à être crédible.
La gestion des déchets auront des débuts de solution, surtout par le réemploi des déchets énergétiques.
Le danger d’un accident nucléaire
devrait être couvert couvert en principe par une prime d’assurance de 20 millions par an par centrale. En 2024, cette prime est assumée
par les gouvernements, comme à Fukushima. En 2051 cette assurance sera organisée au niveau mondial et payée par les
opérateurs.
Supprimer les subsides à l’industrie pétrolière.
En 2024, 15 milliards, 1000€ par habitant en Belgique, même ordre de grandeur ailleurs.
Taxer les SUV, la mobésité (ou l’autobésité).
La 5G, les bitcoins, le streaming, Chat GPT ainsi que toute l'Intelligence artificielle, les méga-croisières, le tourisme spatial, le tourisme auto et le tourisme par avion ne seront pas utilisés, (car ils nécessitent trop d’énergie).
Discussion: ne plus utiliser d’outils numériques, téléphone, ordinateur, internet, car trop
stressants.
{X3, Marc Laval}
Discussion:. En 2024, on numérise à tour de bras, pour réduire les coûts. On a changé pour diminuer les coûts. plus que pour améliorer l'expérience des utilisateurs. {X7}
La sobriété énergétique sera de mise partout.
En 2051 la capture du CO2 et du méthane, auront été prouvées être de mauvaises solutions.
Par contre il serait bon qu’en 2051 les télécommunications existent sur toute la Terre au moins comme en 2024, pour assurer des contacts devenus impossibles en présentiel à cause du recul prévu de l’aviation. Les robots garderont la place centrale qu’ils occupent en 2024 dans nos vies ménagères et industrielles. Les robots humanoïde prouveront sans doute n’être que des gadgets de marketing. Il est aussi à espérer que la science aura pénétré de plus nombreux foyers et de plus nombreux esprits. Ceci pour contrer des visions historiques du monde qui sont néfastes pour des humains, comme le rejet de l’homosexualité.